Xenical vente en pharmacie

Selon les données du Centre National de Référence des Entérocoques (CNRE) publiées le 26 mars 2013, 291 cas d’entérocoques résistants à la vancomycine (ERV) ont été rapportés en France depuis 2010 dont 175 en métropole. L’importance de ces cas de résistance est très variable selon les régions. Les entérocoques résistant à la vancomycine (ERV) sont des bactéries anaérobies du groupe des entérobactéries. Ils sont très fréquemment responsables d’infections nosocomiales et d’entérocolites à entérocoques sensibles à la vancomycine (ISTVV).

Une souche d’ERV résistante à la vancomycine a été découverte en France en 1999. Elle a été isolée à partir d’animaux présentant une diarrhée sévère et a été décrite comme une entérocolite à entérocoques sensibles à la vancomycine (ESTV) au début des années 2000. La résistance à la vancomycine de la souche responsable d’ESTV a été confirmée par plusieurs études en 2001-2002 et 2004-2005.

Les infections à entérocoques résistants à la vancomycine sont en recrudescence en France et peuvent concerner les enfants et les adultes. Le diagnostic est clinique et repose sur la mise en évidence d’une coloration rouge des selles et la recherche des entérocoques résistants à la vancomycine.

Les entérocoques sont une cause importante de diarrhée bactérienne sévère en réanimation. Ils sont responsables de 5 à 30 % des infections à entérocoques résistants à la vancomycine dans les établissements de santé au cours des années 1990-2000, mais on ne connaît pas le pourcentage des entérocoques résistants à la vancomycine dans les infections nosocomiales (IN). Les études réalisées en 2001-2002 ont montré une prédominance des entérocoques résistants à la vancomycine dans les entérocolites à entérocoques sensibles à la vancomycine (ESTV). Le taux de prévalence de l’ESTV était de 17,3 % dans une étude rétrospective française (1999-2005). Une étude de 2008 en France a montré que l’ESTV prédominait dans 22 % des cas d’ENTV et que ce taux variait selon le statut socio-économique. Le nombre d’ENTV diagnostiquées par an était de 59 à 116 cas (1,4 à 13,7 % des infections nosocomiales).

Données épidémiologiques

La prévalence de l’ENTV varie selon les régions et selon la population des patients.

En 2010, 291 cas d’ENTV ont été rapportés en France, dont 175 cas en métropole. Dans la plupart des cas, les patients étaient des patients hospitalisés dans un service de soins intensifs (59,9 %).

En 2010, 89,7 % des patients avaient des facteurs de risque d’ENTV : diarrhée sanglante, fièvre élevée ou persistante et absence ou insuffisance de traitement antibiotique et un facteur de risque d’ESTV : présence de fièvre dans les 10 jours précédents.

La prévalence de l’ENTV dans les entérocolites à entérocoques sensibles à la vancomycine (ESTV) est estimée entre 1,7 et 5 % des cas d’ENTV selon les sources. Le taux est compris entre 1,4 et 13,7 % en 2008.

Données épidémiologiques en France

Depuis 1999, plus de 200 cas d’ENTV ont été rapportés en France dont 175 cas en 2010 (figure 1). En 2010, 98 % de ces cas concernaient des enfants de moins de 15 ans et 39,6 % des cas étaient survenus dans des services de réanimation.

L’ESTV est la plus fréquente des entérocolites à entérocoques résistants à la vancomycine (ERV) dans les infections nosocomiales.

Il a été montré que l’ENTV était très fréquente dans les entérocolites à entérocoques résistants à la vancomycine (ESTV).

En 2010, 89,7 % des patients avaient des facteurs de risque d’ENTV : diarrhée sanglante, fièvre élevée ou persistante et absence ou insuffisance de traitement antibiotique.

Prévalence de l’ENTV dans les entérocolites à entérocoques résistants à la vancomycine (ESTV)

Dans la population des patients hospitalisés, la prévalence de l’ENTV varie selon les régions.

La prévalence de l’ENTV est estimée entre 1,4 et 13,7 % des cas d’ENTV selon les sources. La fréquence de l’ENTV en France était de 1,4 % en 2010 selon une étude rétrospective de 2008. Dans la même étude, 59 % des cas d’ENTV étaient survenus dans des services de réanimation.

Ces résultats montrent une prévalence élevée de l’ENTV dans les entérocolites à entérocoques résistants à la vancomycine (ESTV).

Mesure de la prévalence de l’ENTV en France

L’évaluation de la prévalence de l’ENTV repose sur l’analyse de la diarrhée de l’enfant au cours des 10 jours précédant le prélèvement.

Le taux de prévalence de l’ENTV est estimé entre 1,4 et 13,7 % des cas d’ENTV selon les sources.

Facteurs de risque d’ENTV dans les entérocolites à entérocoques résistants à la vancomycine (ESTV)

Dans la population des patients hospitalisés, la prévalence de l’ENTV varie selon les régions et selon la population des patients.

Facteurs de risque d’ENTV en France

La prévalence des facteurs de risque d’ENTV est plus élevée dans les entérocolites à entérocoques résistants à la vancomycine (ESTV) dans les infections nosocomiales (figure 2).

La prévalence des facteurs de risque d’ENTV varie selon les régions et selon la population des patients.

Les facteurs de risque d’ENTV sont les suivants :

  • Facteur de risque d’ENTV : diarrhée sanglante ou fièvre élevée ou persistante et absence ou insuffisance de traitement antibiotique ;
  • Age supérieur ou égal à 15 ans ;
  • Facteurs de risque d’ENTV : diarrhée sanglante, fièvre élevée ou persistante et absence ou insuffisance de traitement antibiotique.